Psychologue clinicienne à Toulouse

Psychologue clinicienne à Toulouse et psychothérapeute EMDR, j’exerce en institution et en libéral :

– en libéral : les consultations ont lieu en visioconsultation.

– à l’hôpital Pierre Paul Riquet (CHU Toulouse). au sein du CETD (Centre régional d’Évaluation et de Traitement de la douleur).

Mes formations et diplômes

Je suis titulaire d’un Master 2 « Psychologie clinique et psychopathologie ». Au-delà des bases acquises à l’université, j’ai bénéficié de supervisions et validé des formations complémentaires :

  • Supervision individuelle mensuelle pendant quatre années par un superviseur (psychiatre, pédopsychiatre et psychothérapeute) en début de carrière m’a permis d’acquérir une formation plus poussée à la psychothérapie.
  • Supervision pendant deux années à la thérapie familiale dans le cadre d’interventions en centre de P.M.I. (Protection Maternelle et Infantile).
  • Formation de psychodramatiste analytique (Institut Français de l’Analyse de Groupe et de Psychodrame, Paris).
  • Formation à la relaxation thérapeutique au C.E.T.D. (Centre régional d’Évaluation et de Traitement de la Douleur) de Toulouse.
  • Formation à l’EMDR, à l’EFPE (Toulouse).
  • Formation « Douleur chronique et EMDR« , à l’IFEMDR (Institut Français d’EMDR).
  • Formation à l’EFT (Formation Cary Craig et supervision régulière)

J’ai également été chargée de TD à l’Université jean Jaurès à Toulouse pendant quatre années.

En 2021, j’ai participé à deux articles pour le journal La dépêche :

Enfin, ma pratique s’est enrichie de divers apports :

  • La psychologie existentielle: courant initié par Victor Frankl, vulgarisée à travers les ouvrages d’Irvin Yalom, elle s’intéresse aux quatre grands enjeux auxquels tout être humain doit faire face et qui sont source d’angoisse : la mort (enjeu évident, inéluctable avec qui chacun doit traiter), la liberté (l’être humain a besoin de sécurité et la liberté, par la responsabilité et les choix qu’elle suppose, va générer beaucoup d’angoisse), l’isolement fondamental (aussi aimé et entouré soit-on, on naît et on meurt seul) et enfin le sens (quel sens a la vie ? pourquoi je suis là ? comment vivre ? …).
  • Les études en psychologie clinique et psychologie de la santé sur les enfants « précoces » et les adultes « surdoués »: la meilleure connaissance actuelle du fonctionnement cognitif lié à la douance permet un accompagnement plus précis. En effet, au-delà d’un chiffre de quotient intellectuel supérieur à 130, les enfants et adultes surdoués peuvent développer un rapport au monde particulier qui peut être source de souffrance. Après le bilan cognitif qui donne une mesure psychométrique, le QI, une psychothérapie est donc parfois nécessaire.
  • Les neurosciences : il est impossible aujourd’hui pour un psychologue clinicien d’ignorer les avancées dans le champ des neurosciences. Elles montrent notamment que les émotions sont premières, qu’intelligence et émotions sont interconnectées notamment dans la prise de décision et que chaque expérience vécue entraîne des modifications au niveau du cerveau (plasticité cérébrale). L’EMDR fait partie des techniques thérapeutiques dont les neurosciences ont expliqué le fonctionnement.
  • L’épigénétique: le déterminisme génétique, et notamment dans le champ de la santé mentale, a été pondéré depuis quelques années, par l’importance de l’épigénétique . En effet, notre mode de vie (alimentation, exercice physique et équilibre psychique) joue un rôle fondamental dans l’expression de nos gènes. Ainsi les maladies, telle que la dépression par exemple, n’apparaissent plus comme des fatalités même lorsqu’elles touchent plusieurs membres de la famille.
  • La méditation: tradition orientale très ancienne et associée à la religion (bouddhisme, hindouisme …), elle est sur le devant de la scène depuis une dizaine d’années dans les pays occidentaux. Diverses études scientifiques ces dix dernières années ont validé ses bienfaits pour la santé : amélioration de la concentration et de l’attention, diminution des douleurs chroniques, amélioration du sommeil, meilleure gestion des émotions, prévention de la récidive chez les personnes souffrant de dépression, développement d’une spiritualité laïque … Ceci a permis le développement de cette pratique que ce soit en médecine ou dans le champ de la psychologie.

Autres
Publication d’un article dans la revue professionnelle « Douleur et analgésie » : « De la maltraitance dans l’enfance au syndrome douloureux chronique chez l’adulte : à propos d’un cas clinique »
Thérapie personnelle
Pratique de la méditation de pleine conscience

N° ADELI : 31 93 1832 5
N° SIRET : 507 947 554 000 22

Consultation sur rendez-vous